Parti le matin par un joli temps pour Tivoli, dessinant ce que je rencontrais, très content d’être seul et de pouvoir m’arrêter où bon me semble.
L’Yverdonnois Béat de Hennezel (1733-1810) accomplit son Grand Tour en Italie en amateur d’art, qui d’ailleurs n’hésite jamais à critiquer les œuvres pour lesquelles l’admiration, si l’on en croit les guides de son temps et du nôtre, est obligatoire; mais c’est aussi le voyage d’un curieux dont le sens de l’observation fait plus d’une fois notre étonnement. Sa verve voltairienne, que ne touche que fort peu le théâtre sacré de la Rome papale, n’est jamais en repos et ne cesse de surprendre.
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